Une fiction doit raconter une histoire mais aussi explorer les sentiments humains. Et qui a-t-il de plus humain que la vengeance ?
Catégorie : Critique d’un genre
Il y a certaines fictions qui ne sont peut-être pas si folles mais qui m’ont touchées car elles résonnent avec mon contexte émotionnel.
Tiens si j’écrivais une histoire d’amour et de désirs où les personnages passent de la haine à l’amour. C’est le trope enemies to lovers.
Dans la panoplie des auteurices d’histoires d’amour, l’amour interdit est un petit piment délicieux… mais à doser correctement.
Les plateformes proposent de plus en plus de whodunit en mode mini-séries. Sauf que faire durer le suspense 6 épisodes, c’est long.
De temps en temps, c’est un peu tendu dans ma vie donc une fiction de type « pétage de plomb », ça détend. Si c’est bien fait.
Un exercice que j’aime dans l’écriture, c’est imaginer un système. Et pour se faire, je peux écrire une dystopie… ou un récit de secte.
On entend souvent les « anti-woke » se plaindre que la fiction non-oppressive est chiante. Alors que pas du tout.
Parfois, les fictions nous proposent un univers bizarre et déroutant. Pourquoi pas mais faudrait qu’il y ait un sens, quand même…
La vraie question. J’ai donc décidé, pour ce nanowrimo 23, de me lancer dans une rom com à caractère politique. Soit une députée Renaissance qui s’encanaille avec un député LFI, en gros. On a les kinks que l’on peut. A…