Raconte moi des histoires

Pour bien raconter les histoires, il faut aussi savoir les écouter

Le parfum de la vengeance

J’étais partie pour chercher un nouveau téléfilm sur des jumeaux... et surtout des jumelles car les téléfilms aiment la psychopathie féminine. Mais à peine, ai-je ouvert la section téléfilms de TF1 que je tombe dans le piège du titre alléchant « le parfum de la vengeance ». Ok, j’achète ! Surtout que c’est ce genre de téléfilm qui commence par une scène cruciale. Puis on va sans doute avoir des flashback pour comprendre comment on en est arrivés là. Sachez donc pendant que le générique nous offre une musique un peu suspense, une jeune femme blonde fait du vélo, suivie de près par une autre femme blonde qui n’a pas l’air gentille… Et qui la percute avec sa jeep pour la jeter dans le fossé. Ok…

Susan dans un parfum de vengeance, téléfilm

Un patron de restaurant très généreux…

Sans transition, on se retrouve dans le bureau d’un super restaurateur riche tout de noir vêtu avec la chemise un peu ouverte qui tourne dans sa salle de restauration en parlant à des femmes visiblement en chaleur et leur offre un cocktail chacune. Ca flirte dur mais une serveuse vient interrompre Mickaël pour lui dire qu’une dénommée Amber a eu un accident. Alors non, du coup, on s’en fout de la fille qui a été renversée, on n’aura pas de flashback. Là, un couple arrive « Bonjour, nous avions une réservation ». « Ah oui, votre table sera prête dans une minute et on vous offre le dessert ». Quoi ? Tu es excessivement commerçant, Mickaël. A Paris, une minute de retard ne te donne même pas droit à trois olives luisantes d’huiles.

Mickaël dans un parfum de vengeance, téléfilm

Un mari pas super intentionné

Mickaël rentre, on découvre sa petite famille : un tout petit bébé et une belle femme. Mais il se plaint un peu parce qu’il offre trop de trucs aux clients et il ne fait pas de bénéfices. Oui, précisément ce que je disais… Bref, sa femme trouve que c’est un bon moment pour faire une petite crise existentielle à base de « ouais mais j’aimerais retourner bosser, ma vie est bien nulle ». Et on retrouve la méchante blonde qui regarde une vidéo sans intérêt sur Youtube, regarde un article sur Mickaël tandis qu’un mec roupille sur son canapé. Ok, je… je sais pas mais elle vient postuler le lendemain au resto de Mickaël qui est subjugué. On dirait Daryl Hannah pré-chirurgie mais en flippante. Donc la blonde méchante s’appelle Susan et flirte en gloussant avec Mickaël. On apprend donc qu’ils ont vécu à San Francisco en même temps  et on sent que Mickaël a vaguement oublié sa desperate housewive, son regard bovin déshabillant Susan du regard.

Mickaël et Susan dans un parfum de vengeance, téléfilm

Une nouvelle employée bien zélée

Evidemment, Susan est embauchée et dès le premier soir, elle attend Mickaël dehors, contemplant le capot ouvert de sa voiture « oh non, ma voiture est en panne, je ne sais que faire. Vous pouvez me ramener ? » Ah ok, dès le premier soir, pas de temps à perdre, quoi. D’ailleurs, elle lui propose de visiter l’appartement mais il refuse parce que bon, on l’a vu expliquer à son vieux pote de drague qu’il avait une famille et qu »il allait rester droit. Rappelons quand même qu’il a embauché Susan sur son physique. Parce qu’on essaie pas mal de nous vendre Mickaël comme un super type, l’amie de sa femme lui rappelle comme elle a trop de chances de l’avoir… alors que le mec galère de ouf niveau tune parce qu’il offre plein d’alcool aux filles qui traînent dans son resto. Bon, en attendant, comme il est rentré très tard, il échoue sur le canapé parce que sa femme a mis le bébé à sa place dans le lit. Oh, ok, je sens le coup du « on n’a plu de sexe depuis la naissance du bébé, c’est pas ma faute si j’ai couché avec la Blonde ». 

Catherine dans un parfum de vengeance, téléfilm

Une nuit en solo en perspective…

Le lendemain, ça continue à flirter sévère, Mickaël pose des question sur le tatouage qu’elle a sur l’épaule. « C’est un ange, c’est ma soeur ». »Et sur l’autre, y a un démon ? ». Il récolte un regard glacial. Oh, ok, la vengeance, c’est lié à la soeur de Susan et le mec qui vit avec elle et qui semble son complice, c’est le mec de la soeur décédée. Et comme Mickaël avait des problèmes de boisson, je pressens l’accident mortel. Bref, l’épouse qui n’a toujours pas de prénom débarque au restaurant, scène gênante pour tout le monde a base de « ah ben elle est jolie ta nouvelle serveuse », « bah faut bien » « Ah vraiment ? ». Mais oh, un incendie ! Le restaurant est donc fermé et comme on voit Susan tripoter un paquet d’allumettes avec son air méchant, tout est clair… Bon, du coup, Mickaël et sa femme sans prénom se disputent car ils devaient partir à New York pour un séjour romantique (ah ?) mais que c’est annulé parce que Mickaël doit nettoyer le restaurant. Il expédie donc bobonne à New York, il va donc tringler Susan. 

Le parfum de la vengeance téléfilm

Tequila et adultère

Susan qui est chez elle à regarder des vidéos de sa soeur morte, la même en version brune et moins flippante. Une sorte d’artiste qui peint sur les murs de leur appart et que Susan passait son temps à filmer (ok, je…). Son complice lui file des pilules et il regarde la vidéo « ah, c’est elle ta soeur ? ». Alors, non, c’est pas le petit ami de la soeur défunte. Bref, le soir même, Susan, Mickaël et deux employés picolent pour passer une bonne soirée. Ils se retrouvent dans un bar à strip tease glauque où on leur sert de la tequila. Mickaël est pas chaud mais tout le monde insiste. Bref, tout le monde est déchiré et Susan et Mickaël se retrouvent dans la rue. Mickaël cherche un taxi mais Susan le tente « non mais azy, j’ai loué une chambre d’hôtel pour la nuit, viens, steuplé, steuplé, steuplé ». Elle le supplie vraiment, même pas une vanne. Bref, à l’hôtel, ils prennent un verre au bar, verre qu’elle drogue ! Elle sort tout. Les seins, les yeux plissés, elle veut l’avoir. D’ailleurs, Mickaël lui demande pourquoi elle est célibataire et elle lui sort un « je suis très difficile et je sais précisément ce que je veux ». Mickaël la recale en lui rappelant qu’il est marié « mais qu’il aurait bien eu envie, hein ». Mais elle lui susurre qu’il n’est pas obligé de faire ce qu’il ne veut pas faire. Quoi ? C’est quoi cette drague cheloue encore ? Bon, évidemment, ils se chopent sur une espèce de musique érotique un peu mystérieuse. Enfin, ils se chopent, Mickaël s’évanouit et… se réveille attaché au lit au petit matin. Qu’est-ce que c’est ? 

Le parfum de la vengeance, téléfilm

Ca commence à sentir le souffre

Mickaël est un peu grognon et agresse Susan qui veut pas le détacher. Sérieusement, elle a beau lui faire un sale coup, ce mec n’est pas la perle rare dont on nous parle depuis le début du feuilleton. Bon en tout cas, il a dû réussir à démonter le lit vu qu’il débarque chez le serrurier pour se faire enlever la menotte. Le vieux monsieur rigole un peu mais… attends, Mickaël part sans rien payer du tout ? Mais  vraiment, pardon mais je commence à être team Susan, moi. Susan qui lui a fait un adorable petit suçon, quelle facétieuse. Il rentre enfin chez lui pile pour répondre à sa femme qui lui sort un « ah ben ça fait 35 fois que j’appelle, tu faisais quoi, hihi ? ». Evidemment, elle sent qu’il y a quelque chose qui cloche… Le fameux sixième sens de la femme trompée dans les téléfilms. Quoi que je suis pas convaincue qu’ils aient couché ensemble. Mais Susan revient au restaurant et rentre telle une Reine genre « c’est chez moi ici ». Et à peine Mickaël ferme la porte du bureau qu’elle lui lâche un « tu veux déjà remettre ça? » sans pression. Franchement, excepté l’attaque d’Amber, elle me plaît cette fille. Evidemment, Mickaël la vire. Il veut lui filer plein de frics mais elle refuse car « c’est l’heure de la punition. Je veux 75 000 dollars en liquide pour demain sinon, je dis tout à ta femme ». Et elle le traite de pigeon en prime, pouf. Evidemment, Mickaël refuse « bah vas-y, tu peux tout dire à Catherine (enfin un prénom !), elle te croira pas. » Sauf qu’évidemment, elle a fait un sextape. Elle gère.

Le parfum de la vengeance, Mickaël menotté

Plus collante qu’un chewing-gum

Bref, Mickaël doit faire une hypothèque à la banque et dès qu’il fait un faux pour signer les papiers à sa place, elle débarque comme de par hasard à la maison. Du coup, elle n’a même pas enlevé son manteau qu’il se barre déjà. Mais n’oublions pas que personne ne veut entendre les plaintes de Cat’ car son mec est une perle. Bref, il file l’argent à Susan en lui demandant « pourquoi moi », elle lui répond « chais pas, le karma ». Bref, Susan rentre chez elle retrouver son complice qui semble donc son mec. Elle l’embrasse puis dès qu’il a le dos tourné, essuie sa bouche avec sa main. Mmm… Tout ça n’est pas fini, je vous le dis. Bon, essentiellement parce que j’en suis même pas la moitié. D’ailleurs, ni un ni deux, Susan débarque chez eux et explique à Catherine que Mickaël l’avait embauchée comme coach personnelle et qu’elle l’avait bien fait suer, hihi. Mickaël va donc pourrir Susan qui se fout bien de sa gueule « non mais ta femme en a besoin, sois pas égoïste. Puis je lui ai rien dit, je respecte notre pacte ».

Le parfum de la vengeance, téléfilm

Susan sème la zizanie

Mickaël sent qu’il y a une rancune personnelle donc il va en parler à son pote de drague qui insiste bien sur le fait que Mckaël était un sacré queutard, à l’époque, bla bla bla. Et comme il est super lourd, il se fait pardonner en lui payant un détective privé « je l’ai lancé, je l’ai mis sur yahoo! à l’époque, il me doit bien ça ». Yahoo!… Quoi ? En attendant, Susan va ouvrir un compte à la banque et profite de l’occase pour appeler Catherine pour lui parler de l’hypothèque en faisant genre qu’elle est une assistante là-bas. Cath est assez déboussolée, son mari a retiré 75 000 dollars en liquide ? Qu’est-ce que c’est ?

Catherine confronte Mickaël dans le parfum de la vengeance

Y a de l’eau dans le gaz

Cath sort les griffes ! Elle débarque au restaurant, un peu vénère, et lui demande pourquoi il a retiré tout cet argent. « Je peux t’expliquer… » « Mais je m’en fous de tes explications, pourquoi t’as fait ça dans mon dos ? » « Non mais vas-y, tu crois quoi ? » Pardon Mickaël ? Vraiment, tu tentes une inversion de charge ? Sans pression ? Il te mérite pas, Cath, il te mérite pas. D’ailleurs, elle est bien de mon avis puisque le soir, quand il rentre, la maison est vide. Elle laisse un message sur le répondeur pour dire qu’elle préfère dormir chez ses parents car il est tard mais je pense que c’est le début de la rupture. 

Le parfum de la vengeance, téléfilm

Mickaël a le cafard

Ah on enchaîne sur la minute féministe avec Susan qui explique à Cath que c’est bien à cause de l’exigence des hommes qu’elles sont obligées de souffrir en salle de sport. Mais en vrai, c’est juste pour dire que des hommes mariés la chinent en permanence. Cath va se doucher après tout ce sport et Susan en profite pour piquer ses clés et faire un petit tour de la maison. J’aime bien parce qu’elle a pris soin de mettre des gants mais elle a ses 3 kms de cheveux détachés, là. T’as jamais regardé les experts ou quoi ? Bref, Susan ne s’arrête jamais. Elle a glissé des cafards dans la cuisine de Mickaël qui va se retaper une petite fermeture le temps de désinsectiser. Ca tombe pile sur les deux femmes en chaleur du début qui glapissent de terreur. 

Quand tu trouves un cafard dans ta salade

Le garçon charmant est une raclure

Mickaël dîne donc chez lui, pour une fois. Cath essaie d’être sympa et fait la conversation puis propose de retravailler si ça peut aider et là, il lui hurle dessus en tapant sur la table « non, jamais ! ». Ok, il est vraiment pas net. Les mecs qui maintiennent leur femme sous clé, c’est pas des gentils. Mais on découvre que Susan a fait trois ans en hôpital psy car son père agressait sa soeur et là, Mickaël percute. « Quoi ? Susan a une soeur ? Elle s’appelait Ariel ? Mais je suis trop sortie avec elle ! ». Oh, ok, la révélation est vraiment écrite avec le cul, là. D’où il percute quoi que ce soit ? En attendant, on a droit à un flashback ou Ariel annonce à Mickaël qu’elle est enceinte, oups ! Du coup, il la largue. Claaaaasse. Il va donc raconter cette histoire à son poto de drague en mode « non mais c’était pas sérieux, elle était trop imprévisible, bla bla bla ». Charmant. 

Ariel dans le parfum de la vengeance

Susan dérape du côté obscur de la raison

Bref, il convoque Susan pour lui dire qu’il sait tout mais que bon, c’était pas sérieux. « Assez pour la mettre enceinte ». You got point. Et donc, on apprend que la petite Ariel s’est suicidée. J’y étais pas du tout avec mon accident… Bref, Mickaël est trop désolé et le lui dit mais elle trouve ça un peu léger. D’ailleurs, si Susan ne s’est pas (encore) suicidée, c’est parce qu’elle veut qu’il souffre autant que sa soeur. Puis elle rentre chez elle regarder la vidéo du suicide de sa soeur en hurlant. Oueeeee… 

Susan pleure dans Le parfum de la vengeance

Toujours des disputes chez Mickaël

Le lendemain, Mickaël galère pour l’ouverture de son restaurant et quand il rentre chez elle, il trouve Cath qui boit un verre avec… Susaaaaaaaan. Du coup, il raconte des trucs dégueulasses sur elle. « Tu savais qu’elle avait fait de l’hôpital psy ? » »Oui, à cause de son père. J’espère que tu l’as pas renvoyée pour ça, hein ! ». Vraiment, Cath, tu ne le mérite pas du tout, du tout. Le bébé se met à pleurer donc elle va voir le bébé et trouve des allumettes dans le berceau. Du coup, Mickaël lui avoue tout. Enfin non, il lui parle juste de la soeur mais oublie de dire qu’il a peut-être couché avec elle. Ou qu’Ariel était enceinte de lui. En attendant, Cath est très énervée et va prendre les choses en main parce que ça suffit les conneries. 

Le parfum de la vengeance

Tentative d’empoisonnement

Mais Mickaël, c’est un bonhomme donc il va mettre un coup de pression à Susan au club de sport mais elle se fout bien de lui « j’ai tout dit à ma femme. » « Oh non, je suis sûre que tu as oublié un ou deux détails ». Elle est géniale. Au moment où il lui saisit le bras parce que bon, elle a mis des allumettes dans le lit de son fils, le petit ami débarque. Cath débarque au bureau pour dire qu’elle avait parlé à Susan et que cette dernière avait promis de les laisser tranquille. Mais c’est un mensonge car Susan profite de l’absence de Cath pour mettre de l’antigel dans la citronnade de la maison. Antigel, poison breveté depuis Heathers. Mais je sais pas qui va boire la citronnade vu que Cath annonce qu’elle prend le bébé et se casse chez sa soeur. Ah non mais en attendant, elle rentre à la maison boire de… la citronnade, nom de Dieu ! Elle en avale une gorgée mais le goût n’est pas terrible, elle laisse donc tout sur le plan de travail et va trier du courrier. Mais elle se sent un peu bizarre quand même. Ohlala, c’est la chute, va-t-elle parvenir à appeler Mickaël avant de perdre connaissance ? Non, elle appelle les urgences plutôt, elle est vraiment maline, cette Cath. D’ailleurs, ça va, elle a été prise à temps à l’hôpital. Mais dans les téléfilms de vengeance de ce type, la gentille ne meurt jamais. 

Le parfum de la vengeance

Un plan diabolique ou presque

Mickaël, par contre, est arrêté par la police et accusé d’avoir tenté de tuer Cath. Omagad ! Il va devoir rester en prison car Susan a raconté à la police que Mickaël prévoyait de tuer Catherine pour récupérer de la tune ! Elle balance l’altercation à la salle de gym et avait même planqué la sextape dans le placard, hihi. Bon, Mickaël finit par sortir mais il n’a pas le droit d’approcher Catherine ni même le bébé. Diabolique ! Bref, Mickaël pleure sur son canapé en regardant la vidéo de naissance d’Evan (dont il se cognait jusque là, mais bon), Cah pleure en peignoir chez sa soeur. Mais c’est pas fini, non non ! Cath se retrouvant seule pour la soirée, Susan va tranquillement l’agresser puis demande à Mickaël de le rejoindre au restaurant où elle l’attend… avec son fils (?). Bref, elle filme Mickaël qui avoue qu’il voulait tuer Catherine, bla bla bla. Mais entre temps, la soeur de Cath rentre et trouve sa soeur ligotée donc ça va être un finish compliqué. Susan prend le téléphone de Mickaël pour envoyer un message à Cath pour annoncer son suicide. Mais son complice, Jimmy, n’est pas trop d’accord donc ça part à la bagarre, Jimmy prend une balle dans l’épaule (donc pas grave au pays des téléfilms) tandis que Susan s’en prend une dans le ventre. Donc elle devrait mourir.

La bagarre
Cet arrêt sur image est catastrophique, personne ne croit à la bagarre

Et happy end !

Et effectivement, elle meurt. Du coup, tout est bien qui finit bien. Amber revient au restaurant et Mickaël et Catherine, qui a fait péter son décolleté le plus vertigineux, dînent en amoureux en gloussant. Et c’est donc la fin. Et ça tombe comme un cheveu sur la soupe. Vous l’aurez compris tout au long de cet article, on va avoir un gros souci ici : le prince charmant n’est pas du tout charmant. Une fois de plus, on a la dichotomie entre la fille gentille qui pardonne versus la fille méchante (jusqu’à la psychopathie) qui veut se venger. Et c’est dommage car les deux personnages féminins sont plutôt bien balancées et le plan de Susan plutôt bien foutu…

Le parfum de la vengeance

Jusqu’au climax final. La fameuse confrontation du gentil face au méchant… enfin surtout la méchante dans l’univers des téléfilms, celle-ci tendant toujours une arme vers sa future victime. Alors que Susan avait mené sa vengeance avec brio et touchait au but, telle une Nadia Fares dans Elles n’oublient jamais… elle décide de tuer Mickaël. Mais pourquoi tu fais ça, Susie ? Tu avais réussi à briser sa vie, barre-toi maintenant. Cette dernière confrontation fait basculer le personnage de Susan dans la psychopathie alors que jusque là, hormis l’histoire du vélo, elle restait plutôt dans les clous… Ah et la tentative de meurtre sur Cath, aussi. Mais bon, on est dans un téléfilm et dans les téléfilms, les femmes sont dangereuses. Toujours.

Nina

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