Parfois en lisant un roman, tu es frappé·e d’une évidence : ce personnage dont je suis les aventures, c’est carrément moi !
Catégorie : Carnet d’écrivaine
Ce que je déteste avec les clichés narratifs ? C’est qu’ils me spoilent l’histoire. Genre le flic qui a une ultime pensée pour sa famille…
Il y a certains romans, quand tu les lis, tu comprends parfaitement qu’en fait, l’auteur est le héros caché sous un avatar peu subtil.
Parfois dans un roman, tu croises des personnages omniscients. Ils savent des choses qu’ils n’auraient pas dû… car l’auteur s’est trompé
Dans le cadre de l’opération : lisez pendant les ponts, j’ai quelques titres à vous conseiller comme par exemple Nuit de Bernard Minier ou Un fond de vérité de Zygmunt Miloszewski. Oui, pas un mais deux romans parce que je les trouve assez…
Je me demande toujours ce qui fait une bonne oeuvre de fiction : le héros ou l’héroïne ou son/sa antagoniste ? Sans doute un mélange des deux mais regardez comme certaines oeuvres ont traversé le temps grâce à leur méchant….
Quand on se lance dans l’écriture, on choisit sa voix. Littéralement. Et si on choisit d’écrire au je, attention aux variations de style !
J’ai longtemps cru que chaque roman se devait d’être noble. Et pourtant, il y a aussi de l’intérêt dans l’écrire futile…
J’ai longtemps cru que je n’aimais pas les histoires d’amour. En vrai, si, j’aime, mais faut pas que leur narration dure des plombes
Quand je lis un roman écrit à la première personne, je peux trouver l’expérience éprouvante si l’auteurice ne trouve pas le bon ton.