J’ai voulu tenter le nanowrimo cette année. Et j’ai bien fait car ça m’a permis de redécouvrir le plaisir d’écrire.
Catégorie : Carnet d’écrivaine
J’écris, j’écris, mais j’assume pas toujours. Alors des fois, je me censure. Mais surtout, j’ai du mal à vendre ma popotte.
J’ai toujours un souci quand la fiction veut me faire passer un connard pour une personne cool. Vraiment, arrêtons de glorifier les ordures.
Un jour, j’ai entendu un narrateur parler d’entrée tardive du personnage comme sa patte d’écriture. Mais ça a l’air pas mal du tout…
J’ai une petite passion dans la vie : imaginer une jolie romance entre les gens qui m’entourent. En plus, ça me fait de la matière pour écrire
J’ai une super idée de soap mais vu que ça va se passer dans une école de musique, ça va être très musical, justement. Comment écrire ça ?
Quand tu lis un roman, pour être impliquée dans l’histoire, il me faut de l’empathie pour le héros ou l’héroïne. Et souvent, ça marche pas.
Dans une histoire, il faut un Grand Méchant. Souvent magnifique et charismatique, il peut avoir un gros défaut : une motivation peu crédible.
Parce que décortiquer ce qui m’a agacée dans une fiction, c’est ma passion. Et aujourd’hui, nous allons parler du love interest. Ou pourquoi faut vraiment s’intéresser aux autrices féminines car j’en peux plus des écrivains qui ont deux valeurs-clé pour…
Alors que franchement, ils devraient. Troisième volet de ma mini-série sur le roman « Une quelconque aventure » de Auteur de Best-seller. La semaine dernière, nous avions parlé du vieux flic qui a eu le malheur de penser à sa famille avant…