Il y a des romans si prenants qu’on n’arrive pas à s’arrêter de les lire. Mais c’est quoi la recette de ces livres que je ne lâche pas ?
J’ai maté Accidente, une telenovela mexicaine efficace mais qui souffre du mal classique du genre : trop de dispersion.
Ayant un gros appétit de lecture, je rebondis de recommandation en recommandation et un jour, je découvre Marie Vareille. Pépite.
Dans la littérature légère, les protagonistes ont souvent un métier de rêve, selon un certain idéal bourgeois.
L’écriture a tout d’un plaisir solitaire : on se titille longuement l’imagination pour atteindre une forme de plaisir.
Envie d’un petit polar entre Agatha Christie et Le club des 5 ? Matez A good girl’s guide to murder sur Netflix. A regarder douillettement.
Parfois, je me lance dans un roman car son titre m’attire. Sauf qu’avec La petite fêlée aux allumettes, j’ai vraiment fait mauvaise pioche.
Dans Anagrammes de Lorrie Moore, l’autrice brouille la frontière entre réel et imaginaire. Idée sympa sauf qu’on ne comprend rien.
En ce moment, je mate pas mal de séries. Des bonnes comme Ni una màs, les frères Sun ou A Good Girl’s Guide to Murder. Meurtre, mode d’emploi en français, titre qui se la joue très Agatha Christie alors que…
Pourquoi j’ai une folle envie d’écrire un roman rédemption ? Parce que j’aime ce moment où tu finis par te relever