Je suis allée voir Superman de James Gunn et… je ne comprends pas l’engouement alors que c’est écrit par un gosse de 13 ans.
Tiens si j’écrivais une histoire d’amour et de désirs où les personnages passent de la haine à l’amour. C’est le trope enemies to lovers.
Dans la panoplie des auteurices d’histoires d’amour, l’amour interdit est un petit piment délicieux… mais à doser correctement.
Les plateformes proposent de plus en plus de whodunit en mode mini-séries. Sauf que faire durer le suspense 6 épisodes, c’est long.
Quitte à écrire, je pourrais envoyer un manuscrit à une maison d’édition ou deux. Mais idéalement, j’ai besoin d’une relectrice.
Quand tu écris un récit, faire répéter une vérité à propos d’un de tes personnages pour le caractériser, ça sonne faux direct.
Parfois, je me demande pourquoi j’irais chercher à me faire publier. Y a déjà trop de livres. Oui mais j’ai un objectif.
En regardant la saison 02 de Merci et au suivant, j’ai repéré un recours à la fausse piste pour perdre le spectateurs. J’ai aimé.
Parmi les clichés récurrents du cinéma : les clubs interlopes. Une ambiance sulfureuse soulignée par une lumière rouge.
Il y a 20 ans, j’ai lancé mon blog. Deux décennies d’écriture régulière qui a suivi mon évolution, mes changements. Quelle constance !