J’ai longtemps cru que je n’aimais pas les histoires d’amour. En vrai, si, j’aime, mais faut pas que leur narration dure des plombes
Catégorie : Carnet d’écrivaine
Quand je lis un roman écrit à la première personne, je peux trouver l’expérience éprouvante si l’auteurice ne trouve pas le bon ton.
Pour faire monter la tension érotique, il faut parsemer des petites éléments. D’un regard intense au frôlement des doigts. Caliente !
Quand tu écris un roman, tu prépares un peu ta liste d’ingrédients et… la romance, est-ce que j’ai vraiment obligée de la mettre ?
Ecrire une histoire d’amour, ok. Mais il faut soigner le premier baiser, faire de cet effleurement des lèvres un pur feu d’artifice
Quand on écrit des romans, on se retrouve parfois avec la tentation d’écrire une scène de sexe. Ok mais il faut soigner la tension érotique.
Les fictions récentes sont généreuses en scène de baise. C’est gentil mais vu qu’elles sont déconnectées de l’histoire, bof…
Parfois, j’entame la lecture d’un roman et je suis fortement troublée… Mais on dirait exactement ce que j’écris. Plagiat involontaire ?
J’écris, j’écris. Et je réalise que mon style évolue au fil du temps, empreint de tics verbaux d’autres personnes. Heu… oups ?
Le plus dur quand on écrit un roman, c’est de créer un réel enjeu, motivant ainsi le lecture à rester jusqu’au bout.