Une retraite spirituelle qui a des airs de secte, c’est le pitch de départ de Nine perfect strangers. Et cette série m’a fait du bien.
Ne suivant pas l’actu télé, je tombe par hasard sur le nouveau soap de TF1, Tout pour la lumière. Ce fut chiant mais ça me donne une idée…
Il y a des clichés agaçants et d’autres qui font rire. Dans la 2e catégorie, je demande le tatouage qui révèle le secret du personnage.
Dans Physical, une mère au foyer devient une star de l’aérobic. Je pensais me lancer dans une comédie légère et… absolument pas.
Parfois, il t’arrive un truc et tu penses que ça fera un passage rigolo dans un manuscrit. Sauf qu’attention au dérapage genre le classisme
Si on doit faire une thèse sur un sujet pour apprécier un film, c’est que c’est raté… Le problème n’est pas la culture mais la narration.
Je suis allée voir Superman de James Gunn et… je ne comprends pas l’engouement alors que c’est écrit par un gosse de 13 ans.
Tiens si j’écrivais une histoire d’amour et de désirs où les personnages passent de la haine à l’amour. C’est le trope enemies to lovers.
Dans la panoplie des auteurices d’histoires d’amour, l’amour interdit est un petit piment délicieux… mais à doser correctement.
Les plateformes proposent de plus en plus de whodunit en mode mini-séries. Sauf que faire durer le suspense 6 épisodes, c’est long.