Parfois, je lis et, au détour d’une phrase, j’ai un sursaut, « je pense pareil ! » . L’auteurice vient de m’offrir un accent de vérité
Catégorie : Procédé d’écriture
Quand tu écris un récit, faire répéter une vérité à propos d’un de tes personnages pour le caractériser, ça sonne faux direct.
En regardant la saison 02 de Merci et au suivant, j’ai repéré un recours à la fausse piste pour perdre le spectateurs. J’ai aimé.
Quand tu regardes ou lis une fiction, si la mécanique des sentiments n’est pas travaillée, tu risques de ne pas te sentir impliqué·e…
Il y a des livres qui piétinent le contrat passé avec le lecteur et nous servent des rebondissement carrément malhonnêtes.
J’ai maté Vortex, une série française ambitieuse et plutôt bien foutue. Mais croiser les timelines, c’est toujours compliqué.
Une histoire, c’est un début, un milieu et une fin. Mais beaucoup aiment adopter une narration déstructurée. Et c’est pas toujours ouf.
Les séries ou romans à tome finissent souvent sur un cliffhanger pour nous appâter. Ok mais vous en servez pas pour rien me raconter avant
La fiction se nourrissant d’elle-même, les auteurices adorent jouer la ref. Et c’est effectivement très rigolo. Si c’est subtil.
Il y a des films qu’on aime bien parce qu’ils sont bons. Et y a Nope, qu’on aime bien pour son supplément Foreshadowing !