Avec le confinement, il y a comme un parfum de fin de monde. De quoi activer la machine à écrire des histoires. Ouais, non… bof, en fait
Pour bien raconter les histoires, il faut aussi savoir les écouter
Avec le confinement, il y a comme un parfum de fin de monde. De quoi activer la machine à écrire des histoires. Ouais, non… bof, en fait